En lisant l’article consacré aux Stranglers paru dans le numéro de Rock & Folk de janvier 2018, mon œil a été attiré par l’annonce située en haut à gauche de la première page : « En couverture » proclamait le magazine « au service du rock’n roll depuis 1966 » (c’est eux qui le disent). Or si je ne m’abuse, c’est une photo du « French Elvis », dont on a récemment perdu la trace entre Marnes la Coquette, la Madeleine et St Barthélémy, qui orne la couverture du dit numéro.
De quoi ? me dis-je, les Stranglers ont raté la couverture de Rock & Folk pour cause de décès de l’idole des jeunes ? La lecture de l’édito viendra confirmer la cruelle vérité : et oui, l’espace d’une conférence de rédaction, il était prévu que les Stranglers fassent, pour la toute première fois de leur carrière, la couverture de cet estimable magazine.
S’ils ont fait, à de nombreuses reprises, la une des journaux britanniques spécialisés, on ne compte en France qu’une seule couverture : celle du numéro de
Best d’octobre 1983, époque où ils sont au sommet de leur gloire de ce côté-ci de la Manche.
Et puis plus rien… jusqu’à ce mois de décembre 2017 où, comble de malchance, Johnny décide de mourir trois jours avant la date de sortie.
Sinon, vous pouvez toujours acheter le numéro où vous trouverez une petite rétrospective de l’histoire du groupe, ou plutôt de sa période 1974-1990, pas mal écrite d’ailleurs, une sélection de leur discographie et une courte interview de M. Burnel.
On espère que la sortie du prochain album sera l’occasion d’un rachat pour Rock & Folk… et que Paul Mc Cartney ou Mick Jagger ne décidera pas de casser sa pipe en même temps.
Cécile
1 commentaire:
Tu m'étonnes! La poisse... mais comme ils n'ont même pas pensé à chercher des bonnes photos du "triomphal concert à la Cigale.... y vont s'faire foutre Rock n Folk...non j'décoooone !!
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